dimanche 19 janvier 2014

Lady Hunt, Hélène Frappat

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J’ai reçu ce livre dans le cadre des matchs de la rentrée littéraire de Priceminister. C’était le livre qui m’intéressait et m’intriguait le plus dans la liste mais je dois avouer que je ressors plutôt déçue de ma lecture.



Laura Kern est hantée par un rêve, le rêve d’une maison qui l’obsède, l’attire autant qu’elle la terrifie. En plus d’envahir ses nuits, de flouter ses jours, le rêve porte une menace : se peut-il qu’il soit le premier symptôme du mal étrange et fatal qui frappa son père, l’héritage d’une malédiction familiale auquel elle n’échappera pas ?

D’autres mystères corrompent bientôt le quotidien de la jeune femme, qui travaille pour une agence immobilière à Paris plus un effet secondaire qu’une carrière. Tandis qu’elle fait visiter un appartement de l’avenue des Ternes, Laura est témoin de l’inexplicable disparition d’un enfant.

Dans le combat décisif qui l’oppose à l’irrationnel, Laura résiste vaillamment, avec pour armes un poème, une pierre noire, une chanson, des souvenirs… Trouvera-t-elle dans son rêve la clé de l’énigme du réel ?

Sur la hantise du passé qui contamine les possibles, sur le charme des amours maudites, la morsure des liens du sang et les embuscades de la folie, Hélène Frappat trace une cartographie intime et (hyper)sensible de l’effroi et des tourments extralucides de l’âme. Des ruines du parc Monceau à la lande galloise, avec liberté et ampleur elle réinvente dans Lady Hunt le grand roman gothique anglais, et toutes les nuances du sortilège.



Commençons avec ce qu’il m’a plus dans ce roman. Premièrement, le début que j’ai trouvé plutôt prometteur et assez intriguant pour me donner envie de lire la suite. On se demande ce qu’il arrive à Laura, ce qu’il s’est passé dans sa vie pour que ces choses là arrivent. J’ai également aimé le titre "Lady Hunt" et surtout son explication que j’ai trouvé assez sympathique et qui m’est apparu comme plutôt inattendue. J’ai également aimé que les chapitres soient tous très courts. Et puis la couverture est super jolie, elle m’a tout de suite donnée envie de lire ce roman. Les passages qui parlent "de l’explication du titre" sont ceux que j’ai préférés dans ce roman.

L’histoire en elle-même est intéressante à suivre mais ce qui a fait que j’ai eu du mal à accrocher à ce roman, c’est la sensation que tout cela était très brouillon. Je lisais mais je ne comprenais pas forcément tout, j’avais du mal à situer certains personnages, à comprendre les actions de Laura. L’écriture et le style auraient pu être agréables à suivre mais certaines tournures de phrases étranges rendent le tout un peu lourd à digérer. Et puis le fait est, qu’après avoir fini ma lecture, je ne pense pas avoir compris ce roman.Il est très difficile de s’attacher aux différents personnages, même à Laura, ce que j’ai trouvé vraiment dommage.

Et puis sincèrement, en lisant la quatrième de couverture, je pensais qu’on s’attarderait d’avantage sur la disparition de l’enfant mais finalement pas tant que ça et c’est peut-être ce que j’ai trouvé un peu bizarre. N’ayant pas forcément compris le roman, il m’est un peu difficile de le juger et je crois que je suis passée complètement à côté du côté surnaturel de l’histoire.


Ce n’est pas forcément un roman que je conseillerais mais qui peut tout de même faire une bonne découverte sur une personne qui y serait plus sensible.

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