lundi 20 janvier 2014

Le dernier évangile, David Gibbins

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J’ai acheté ce roman il y a un sacré moment maintenant. Juste après avoir fini Le chandelier d’or, j’avais voulu enchainer directement avec ce roman et à l’époque, je n’avais pas réussi à aller plus loin que le prologue, abandonnant là ma lecture. J’ai repris ma lecture et je me demande vraiment pourquoi j’ai fais la bêtise de la stopper tant j’ai aimé ma lecture. David Gibbins parvient toujours à me surprendre.

Alors qu’un vieillard, sur les flancs du Vésuve, s’apprête à descendre aux Enfers, les flammes infernales viennent à sa rencontre. Nous sommes en 79 après Jésus-Christ. Au loin, les villes de Pompéi et de Herculanum s’éteignent déjà. L’empereur Claude ne tiendra pas sa promesse – ce serment qu’il prêta jadis à un homme illustre.

Un secret que l’archéologue Jack Howard est aujourd’hui destiné à révéler. Preuves en main. Comment croire à ce " dernier Evangile " aux incroyables origines ? Reconstituant l’inextricable puzzle paléochrétien, via Claude, Pline et saint Paul, en passant par Rome, Londres et la Terre Sainte, Howard et son équipe devront affronter tous les dangers pour révéler la vérité.


Nous retrouvons Jack et Costas encore et toujours en pleine exploration sous-marine et évidemment, ils découvrent quelque chose qui les entrainent dans une fabuleuse aventure. C’est le même système utilisé que dans les premiers romans mais ça fonctionne tellement bien que ce n’est vraiment pas un soucis. En passant par Herculanum, Rome et Londres, ils retrouvent la trace du dernier évangile et de personnages historiques au destin peut-être pas aussi clair qu’il  y parait.

L’auteur a beaucoup d’imagination et surtout une culture historique impressionnante. On apprend beaucoup de choses en lisant les romans de David Gibbins, vous pouvez en être certain. Et dans ce roman là, David Gibbins évite le problème récurrent des deux autres tomes, l’écriture et les termes parfois un peu obscurs de l’archéologie sous-marine. Beaucoup plus de blabla que d’action mais ce que nous apprenons est tellement passionnant que cela n’est pas grave. Il y a des méchants, évidemment mais ils ont largement moins de place dans l’intrigue que ceux des deux premiers tomes. Et ils sont moins méchants aussi mais ce ne sont pas des anges non plus, ils n’hésitent pas tuer si nécessaire. Mais disons qu’ils étaient moins impressionnants que les méchants du deuxième tome.

On en apprend également plus sur le fameux Jack Howard et sur ses années à l’école ainsi que certaines de ses amours dont une qui refait surface après un très long moment d’absence.

Il me reste encore trois tomes en poche à lire et d’ici Juin prochain, le dernier tome paru (Pharaons) sera également sorti en poche. David Gibbins a écrit un roman basé sur le jeu vidéo  Total War: Rome II que je ne connais que de nom. Il est sorti en France au début du mois et j’attends également sa sorti en poche tout en espérant la sortie d’un nouveau roman mettant en scène les aventures de Jack Howard et Costas.

Encore une fois, ce fut une excellente lecture.

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