J’ai acheté ce roman il y a un sacré moment maintenant. Juste après avoir fini Le chandelier d’or,
j’avais voulu enchainer directement avec ce roman et à l’époque, je
n’avais pas réussi à aller plus loin que le prologue, abandonnant là ma
lecture. J’ai repris ma lecture et je me demande vraiment pourquoi j’ai
fais la bêtise de la stopper tant j’ai aimé ma lecture. David Gibbins
parvient toujours à me surprendre.
Alors qu’un vieillard, sur les
flancs du Vésuve, s’apprête à descendre aux Enfers, les flammes
infernales viennent à sa rencontre. Nous sommes en 79 après
Jésus-Christ. Au loin, les villes de Pompéi et de Herculanum s’éteignent
déjà. L’empereur Claude ne tiendra pas sa promesse – ce serment qu’il
prêta jadis à un homme illustre.
Un secret que l’archéologue Jack
Howard est aujourd’hui destiné à révéler. Preuves en main. Comment
croire à ce " dernier Evangile " aux incroyables origines ?
Reconstituant l’inextricable puzzle paléochrétien, via Claude, Pline et
saint Paul, en passant par Rome, Londres et la Terre Sainte, Howard et
son équipe devront affronter tous les dangers pour révéler la vérité.
Nous retrouvons Jack et Costas encore
et toujours en pleine exploration sous-marine et évidemment, ils
découvrent quelque chose qui les entrainent dans une fabuleuse aventure.
C’est le même système utilisé que dans les premiers romans mais ça
fonctionne tellement bien que ce n’est vraiment pas un soucis. En
passant par Herculanum, Rome et Londres, ils retrouvent la trace du
dernier évangile et de personnages historiques au destin peut-être pas
aussi clair qu’il y parait.
L’auteur a beaucoup d’imagination et
surtout une culture historique impressionnante. On apprend beaucoup de
choses en lisant les romans de David Gibbins, vous pouvez en être
certain. Et dans ce roman là, David Gibbins évite le problème récurrent
des deux autres tomes, l’écriture et les termes parfois un peu obscurs
de l’archéologie sous-marine. Beaucoup plus de blabla que d’action mais
ce que nous apprenons est tellement passionnant que cela n’est pas
grave. Il y a des méchants, évidemment mais ils ont largement moins de
place dans l’intrigue que ceux des deux premiers tomes. Et ils sont
moins méchants aussi mais ce ne sont pas des anges non plus, ils
n’hésitent pas tuer si nécessaire. Mais disons qu’ils étaient moins
impressionnants que les méchants du deuxième tome.
On en apprend également plus sur le
fameux Jack Howard et sur ses années à l’école ainsi que certaines de
ses amours dont une qui refait surface après un très long moment
d’absence.
Il me reste encore trois tomes en poche à
lire et d’ici Juin prochain, le dernier tome paru (Pharaons) sera
également sorti en poche. David Gibbins a écrit un roman basé sur le jeu
vidéo Total War: Rome II que je ne connais que de nom. Il est
sorti en France au début du mois et j’attends également sa sorti en
poche tout en espérant la sortie d’un nouveau roman mettant en scène les
aventures de Jack Howard et Costas.
Encore une fois, ce fut une excellente lecture.
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